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VIP-Blog de iceberg06
diobel2004@yahoo.fr

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  • Créé le : 02/10/2006 08:16
    Modifié : 17/10/2006 01:10

    Garçon (50 ans)
    Origine : Quebec
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    octogone d echappement

    17/10/2006 01:10



    Octogone d’échappement

     

     

     

    Écoulement

     

    L’histoire s’écoule de la bouche de l’avenue

     

    Et se heurte à une oreille

     

    Qui attend ses pas près du fleuve

     

    Et des yeux qui prenaient le bâillement pour protestation

     

    Contre le voyage des hirondelles

     

    Avec des ailes de chauves-souris.

     

     

     

    Rêve

     

    Lorsque l’enfant de la mer s’étend

     

    Heureux sur le lit

     

    Pour changer le quotidien

     

    Contre un délicieux rêve

     

    Qu’il ne s’acharne pas à essayer d’expliquer

     

    Au premier chant de l’oiseau du matin.

     

     

     

    Loi

     

    La sagesse de la tortue / perpétuellement indolente

     

    Durant sa vie,

     

    Concentrée sur ses loques,

     

    Mais elle se lasse d’une loi

     

    Qui l’a jetée hors du possible.

     

     

     

    Meubles

     

    Rien ne comble l’espace autour de toi

     

    Sauf l’écho d’un meuble

     

    Que l’idiotie a secrété.

     

    Le langage est un musée vertébré

     

    Que personne ne visite,

     

    Ne sachant pas le sens enveloppé

     

    Des cryptes de l’oubli.

     

     

     

    Source

     

    À chaque fois que je me suis approché de la source

     

    J’ai compris combien c’est dupant

     

    Ce mirage coulant

     

    Sur les rives d’un mensonge

     

    Qui m’a souvent insomnié (rendu insomnieux),

     

    Moi et moi et un peu de moi.

     

     

     

    Poupées

     

    Joyeux anniversaire,

     

    Oh! Poupées de gel

     

    Dévorant mes plus beaux jours.

     

    Combien de fois je me suis aventuré en te choisissant?

     

    Combien de fois j’ai changé tes têtes

     

    Et changer ton apparence

     

    Et combien de fois je t’ai brûlée

     

    Sans me servir de mes mains?

     

     

     

    Complot

     

    Mes jours perdus sont un chemin

     

    Vers un mot driblant qui me charme.

     

    J’épluche les pommes de terre (de peur de la peste).

     

    Je m’allonge sur la terre comme une souris.

     

    Diogène (m’a dépassé dans l’amour de l’impossible).

     

    Combien ma bourgeoisie a impressionnée l’artiste?

     

    Pourquoi tout ce complot

     

    Contre ma marginalité qui s’accroisse

     

    Dans un monde fou

     

    Exerçant la (perte)?

     

     

     

    Expression

     

    Qui comprend le secret des racines

     

    Comme la terre?

     

    Le tronc est-il peut être

     

    Une expression verticale de persévérance?

     

    Et les feuilles vertes

     

    Est-ce une raffinerie du vent

     

    Qui ose abréger un arbre

     

    Qui arrête l’érosion?

     

     





     
     


     

    l hymne d un blesse

    10/10/2006 21:23



    L’hymne d’un blessé

     

     

    Le rideau fut soulevé du plafond de la ville,

     

    Sur un volcan de mots,

     

    Tatoués,

     

    Partagant ma mémoire ruinée.

     

    Alors s’écartent de mon rêve

     

    Pour vivre encore dans mon sang,

     

    Deux papillons perdus

     

    De mes yeux éveillés par l angoisse,

     

    Chagrinés, bandant ma blessure éternelle.

     

    ########

     

    Nu est le soleil

     

    Avalant les étoiles fraîches

     

    Dans l’aube cruelle,

     

    Et lamentant mon ombre fatiguée,

     

    Un truculent gardien

     

    À mon ombre.

     

    ########

     

    Les bateaux des étrangers dans l’horizon,

     

    Mirage/ supplice.

     

    Les rêves des mouettes,

     

    Une punition permanente pour les petits poissons

     

    Attendant leur tour,

     

    Craignant de sommeiller

     

    Sur un coin de route, terrifiés,

     

    Chaque fois qu ils entendaient le claquement

     

    Des ailes disparues.

     

    #########

     

    Je reviendrai transportant mes obsessions

     

    Et toutes les histoires des frontières

     

    De moi à moi-même,

     

    À l’inconnu /connu

     

    Depuis la première malédiction



     
     


     

    reliefs

    03/10/2006 08:23

    reliefs


    Reliefs




    Pourquoi
    N’arrive-t-il pas le jour ordinaire,
    Un peu tard,
    Comme fait la nuit d’habitude
    Quand le soleil timide
    Refuse de quitter les lieux
    Pour que je dorme un peu?
    Peut-être
    Que ce jour est différent d’hier
    En ses lettres,
    Son atmosphère,
    Son extrême couleur,
    Sauf en son écoulement
    À travers des corps épuisés
    Que la rouille dévore à chaque instant
    Dans une grande prison.

    Est-ce qu’
    Un seul sac suffit?
    Un seul,
    Pour emballer les malheurs du monde
    Et les étaler d’un seul coup
    Au marché noir
    Et les vendre au prix du pétrole
    A des superbes créatures
    Qui se meurent d’ennui
    Causé par une richesse intense.

    De combien
    De flûtes le berger a-t-il besoin
    Pour faire chanter ton cœur,
    Oh, beau troupeau,
    Pour que tu dévores ton herbe?
    Et de combien de chiens méchants
    Pour guider dans l’ombre, ton ombre,
    Afin d’éviter ta trahison
    Et te conduire à son gré sur le chemin
    Qu’il t’a choisit?

    Si
    Mon chagrin veut me voir
    Comme m’a-t-il habitué,
    Il fait de mon corps las
    Son âne porteur
    Et vient sans permission
    Pour m’insommnier
    Quand ça le chante.


    Quand
    Les femmes noircissent leurs yeux la nuit,
    Se parfument, et mettent du rouge à lèvres,
    Saches que les hommes
    Sont revenus de la guerre
    Traînant la défaite
    Aux lits
    Pour engendrer leurs semblables.


    Comment
    Tu arrives à destination?
    Et tu n’as ni carte coupée
    A la mesure de tes pas,
    Ni boussole qui limite des labyrinthes
    À chaque fois que tu te noies aux profonds
    De ta mémoire lourde.
    Peut-être
    Un vent fort soufflera
    Sur la ville calme
    Ce soir.
    Sans pluie, sans grêle,
    Un vent bousculant les arbres,
    Terrifiant les oiseaux,
    Mais ne déracinant pas les mauvaises herbes.

    Qui sait ?
    Peut être l’été arrivera prématuré,
    Si chaud,
    Après avoir écarté le printemps.
    Et tu n’as pas vu de fleurs
    En l’absence de la pluie.
    Depuis quand les nuages étaient libres
    Pour contrer le vent?
    Et depuis quand le vent
    Choisit-il son itinéraire?










     
     


     

    ceux la ne sont pas mes freres

    02/10/2006 08:27

    ceux la ne sont pas mes freres


    Ceux-là ne sont pas mes frères

    Joseph le rêveur
    Voilà nous sommes de retour
    À l’heure du coucher éternel
    Nous apportions nos restes aux jardins oubliés
    Ne sois pas optimiste
    Ne fixe pas les étoiles des yeux
    La chemise ignore la parole
    Pour dénoncer le premier loup martyr
    Et innocent
    De ton sang au moins
    Pas de loup immunisé contre le péché
    Et le sang coulé est un mensonge
    Divulgué par des chaînes corrompues
    Eux ne sont pas tes frères
    Ceux-là ne sont pas les miens
    Jacob a senti l’odeur de la trahison
    Il n a pas cru à ta mort
    Et il a choisi le noir
    Attendant que tu flottes d’un nuage
    Au souk des haramiehs (les voleurs)
    On a dupé un touriste idiot
    On lui a fait croire
    Que la chemise est à toi
    Et le papillon est la tache du sang
    Mais ils ont dit vrai
    A propos de la déchirée
    Par la main d’une putain
    Autre que celle qui t’a emprisonné
    Après avoir enlevé
    Mad in……
    Ils les ont vendus en dollars
    On t’a vendu à quelques misérables pièces
    On m’a vendu moins cher, les malhonnêtes
    Vendeurs de prophètes
    Est-ce que je peux voir ce que je veux
    Et ne pas voir ce que je ne veux pas
    En rampant heureux
    Dans une cellule que j’apporte
    Sans trace indiquant mon passage
    Sauf mon numéro d’identité
    Merci ordinateur
    Tu as facilité la tâche de mes gardiens
    Le sosie a dit : lorsque la fleur sauvage sèche
    Et ses petales s’écrasent
    Rien ne reste que la mort
    J’ai dis: fleuris, fleuris, fleuris
    Et lance tes chagrins comme des oiseaux
    Peut-être que le printemps proviendra de tes profonds
    Oh mutin coriace
    Maintenant que tu as appris le secret de la parole
    Raconte, les hommes des grottes,
    Les rois de résurrection mirage
    Et des poètes lèches bottes
    Accroupis, célébrant les louanges
    Au nom d’une masse innocente
    Enivrée par les chatouillements
    Et democratess bascule au bout d’une corde
    Dans la grande place


    L’oiseau migrateur





     
     

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